Moi le café, ça m' énerve. SURTOUT QUAND Y' EN A PLUS, PUTAIN ! Bref.

Si vous aussi vous avez la chance de pratiquer le curieux métier de vendeur, alors la suite de cet article, vous l'avez déjà vécue. Je vous parle de clients qui vous disent bonjour en annonçant "c'est combien", ou bien "une baguette pas trop cuite mais quand même un peu dorée, attention pas trop parce que sinon c'est pas bon" ou encore " y 'a plus ce que je veux ? Appelez moi le patron, je vous prie. "
Je vous parle de clients qui ne disent ni au revoir, ni merci, ni merde, ni rien.
Je vous parle d'eux, mais en fait, je parle un peu de vous aussi. Parce que, j'en mets ma chemise en jeu, ces gens se considèrent, comme vous et moi, comme des gens biens élevés et plutôt tolérants. Alors quand vous irez acheter votre croissant demain matin, faites un joli sourire et soyez particulièrement vigilants sur ce que vous dites - et sur ce que vous ne dites pas - et sur votre façon de le dire, tout en vous rappelant que ça aura un impact considérable sur la journée de la pauvre pomme qui se trouve derriere la caisse. Je sais, je suis exigeant.

Vous l'êtes tout autant.

P.S. Si vous travaillez chez ZARA et que vous venez déjeuner tous les midis chez PAUL, je suis amoureux de vous.

Bonsoir tout le monde, donc.

J'aimerai savoir ce que vous pouvez bien faire dans le coin à cette heure quelque peu avancée de la nuit, mais pour tout vous dire, je me pose moi même la question. Voilà une bonne demie heure que je bidouille ma feuille CSS, dont l'accès est payant, ( Je suis riche. Pas vous ? ) sans même me soucier de ce que je vais bien pouvoir écrire sur ce fichu blog. On verra ça avec le temps, ou pas. Quoi qu'il en soit, veuillez agréer, cger visiteur, chère visiteuse, l' expression de mes sentiments les plus contradictoires et éphémères.

Si ce que je vous écris n'est pas plus agréable que la vue d'une page vierge, alors... Faites moi taire.